de LHF » 01 Mai 2015, 07:57
Faudrait voir si d'autres modèles ont bénéficié de ce double empattement en réduction.
Pour rappel, il s'agit des modèles à roues avant motrices, dont la suspension arrière était assurée par deux barres de torsion transversales (1 pour chaque roue) positionnées parallèlement qui impliquaient cette différence d'empattement. Sont concernés : R4 et dérivés, R16, R6 et dérivés et R5 et dérivés. Ne sont pas concernées les propulsions (R8, R10...), les modèles à essieu rigide, R12 et dérivés (R15, R17), R18 et dérivés (Fuego) et les utilitaires (Estafette...).
La solution est abandonnée au début des années 80, remplacée par les essieux souples qui ont d'abord équipé les R9-R11, puis les Supercinq et les R21. excellent compromis entre les essieux rigides et les roues complètement indépendantes, ils continuent d'être utilisés aujourd'hui, même sur les gammes supérieures pour les plate-formes actuelles.
Les voitures du segment supérieur comme les R20-R30, R25, Safrane, Vel-Satis ont eu des trains arrière à vraies roues indépendantes, avec plus ou moins de bras de suspension. Les Espaces de Matra avaient des trains arrière spécifiques (barre panhard ?).
Les versions 4X4 sont elles forcément équipées de trains arrières multi-bras : il faut pouvoir installer le pont et les arbres de transmission entre les roues arrières, ce qui est impossible avec un essieu souple qui, par définition, traverse le véhicule.
Pour 2024 : Chez Renault, commercialisation du Scenic e-tech, du Rafale, du Master IV, du Captur II ph2, de sa déclinaison longue (Symbioz) et en fin d'année de la R5. Présentation R4, sans doute et peut-être d'autres surprises ?
Chez Dacia, commercialisation du Duster III puis de Spring ph2.